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[29/10 à 21h] Event Dictée


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Pour ne pas perdre le rythme pendant les vacances venez sur Freebuild.fr !

On va faire un tout nouveau type d'event pour le plus grand plaisir de tous les jeunes écoliers et même les plus anciens :)

Une dictée, rien de mieux pour garder le niveau en français !

Il faudra être obligatoirement sur TS pour cet event car il faudra écouter le texte dicté et l'envoyer au prof via TS (car sinon merci le correcteur). Ensuite vous pourrez publier votre texte ici comme ça je pourrai vérifier si vous avez modifié entre temps ;)

J'espère que ça vous plaira et bien évidemment il y aura des récompenses en rapport au nombre de fautes que vous ferez.

Et si vous copiez sur votre voisin attention je sors les coups de règle !

le_prof_et_la_regle_by_grisbrouille-d35zryl.jpg

Détails des récompenses :

Révélation

On improvisera :)

 

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Les stepes vertes du mois d'aout, les spetes grises de l'autonne son maintenant enselevient sous la neige. Le passiant, le confortable trian russes les event en annanant, bon bufle qu'il est. je connais tout cela. c'est mon second hiver russe. et cependant, je n'en puis plus goûter le charme, mon couer est mort. Notre compartiment tant de discution orageuse, tant d'éclat de rire n'est plus maintenant ortoire. nous ne nous parlons plus. Dans les gars, chacun descend pour s'acheter les vivre qu'il aime, remonte , bouffe , rouppile ,revasse, ou gémit, tout seul. le Crétoit est plus calme que moi. Il comprend tout et l'admet. C'est pourquoi un tied mal entendu nous separe quelque peut. Une chose entre toute lui tient a coeur: nous avions convenus de continuer notre voyage au Tukestan et en Siberie, jusqu'a Vladivoscosve et , si possible, jusqu'en Chine et au Japon. or, pour ma part, je considère perdu la cause que je voulais defendre, je ne veux plus de billet de libre parcours, n'y continuer de fastueuse resception qui m'oblige a sourire, sourire... et me taire. Et sans moi, il sais que tout se gate, tout est déja gaté car je retrouve une Moscous qui est au courant de mon revivement. on m'en parle avant que j'ouvre la bouche. Au reste Moscous parle d'un tas de chose et débal un tas saleté. l'odeur d'une de celle-ci m'a frappé des le cocasse de haut en bas on affrime que le soixantère de Gorgit et les édition fanstatisquement arbitraire que l'on as fait de ses oeuvr complete en guenille  on couter a la princesse environ un Million de courpi

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Les steppes vertes du mois d'août, les steppes grises de l'automne sont maintenant ensevelies sous la neige. Le patient, le confortable train russe, les éventres, en annanant, bonbuflent ()? . Je connais tout cela.  C'est mon second hiver Russe. Et cependant, je n'en puis plus goûter le charme : mon coeur est mort. Notre compartiment qui avait connu tant de discussions orageuses, tant d'éclats de rire, n'est plus maitenant qu'un croupissant dortoire. Nous ne nous parlons plus. Dans les gares, chacuns descend pour s'acheter les vivres qu'il aime, remontent, bouffent, roupillent, rêvasse, ou gémient, tout seul. Le Crétois est plus calme que moi. Il comprend tout et l'admet. C'est pourquoi un tiède malentendu nous sépare quelque peu. Un chose entre toute lui tient à coeur : nous avions convenu de continuer notre voyage au Turkestant et en Sibérie, jusqu'à Vladivo


tok et, si possible, jusqu'en Chine et au Japon. Or, pour ma part, je considère perdu la cause que je voulais défendre; je ne veux plus de billets de libre parcours, ni continuer de fastueuses réceptions qui m'obligent à sourire, sourire... et me taire. Et sans moi il sait que tout se gâte. Tout est déjà gâté, car je retrouve une Moscou qui est au courant de mon revirement. On m'en parle, avant que j'ouvre la bouche. Au reste, Moscou parle d'un tas de choses à la fois et déballe un tas de saletés. L'odeur d'une de celles-ci m'a frappé dès le cacase : de haut en bas on afirme que le soixantenaire de Gorky et les éditions fantastiquement arbitraires que l'on a faites de ces oeuvres complète ont coûtées à la princesse en guenilles un million de roublons.

 

 

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Les steppes vertes du mois d'août, les steppes grises de l'automne sont maintenant ensevelies sous la neige. Le patient, le comfortable train russe les éventres en annalant, bon buffle qu'il est. Je connais tout cela. C'est mon second hiver russe. Et cependant, je n'en puis plus goûter le charme : Mon coeur est mort. Notre compartiment qui avait connu tant de discussion orageuse, tant d'éclat de rire, n'est plus maintenant qu'un croupissant dortoir. Nous ne nous parlons plus. Dans les gares, chacun descends pour s'acheter les vivres qu'il aime, remonte, bouffe, roupille, rêvasse, ou gémis tout seul. Le Crétoi est plus calme que moi. Il comprends tout et l'admets. C'est pourquoi un tiède malentendu nous sépare quelque peu. Une chose entre toute lui tient à coeur : nous avions convenus de continuer notre voyage au Turketstan et en Sibérie, jusqu'à Vladivostok et, si possible, jusqu'en Chine et au Japon. Or, pour ma part, je considère perdu la cause que je voulais défendre; je ne veux plus de billet de libre-parcours, ni continuer de fastidieuses réceptions qui m'oblige à sourire, sourire... et me taire. Et sans moi, il sais que tout se gâte.Tout est déjà gâté car je retrouve une Moscou qui est au courant de mon revirement. On m'en parle, avant que j'ouvre la bouche. Au reste, Moscou parle d'un tas de choses à la fois et débale un tas de saleté. L'odeur d'une de celle-ci m'as frappé dès le Caucase : De heut en bas on affirme que le soixantenaire de Gorki et les éditions fantastiquement arbritaire de ses oeuvres complètes ont coûté à la princesse en guenilles un millions de roubles.

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<21:22:15> "alexchira": Les stepes vertes du mois d'août, les stepes grises de l'authomes sont maintenant ensevli sous l'authome. le patient, en nananan bon buff qui es . Je connais tous cela. C'est mon second hiver Russe et se pendant, je n'en puis plus goûter se chârme mon coeur est mort . Mon compartiment qui avait connu tant d'aider de rire n'est plus maintenant qu'un croupissant dortoire nous ne nous parlons plus. Dans les gars, chacun descends pour s'achèter les vivres qu'ils aiments, remonts, bouf, repasse, gémises, bouf. Le Crétoix est plus calme que moi. Il comprend tout est l'amer c'est pourquoi un tiède mal entendu nous sépare quelques peu. Une chose entre toute lui tiens à coeur: nous avions convenu de continuées notre voyage au turkistant et en Sibérie. Jusqu'à Vladivloskop jusqu'en Chine*** Hors pour ma pars je considère perdu la cause que je voulaire defendre, je
<21:23:59> "aurel85" a rejoint la discussion.
<21:26:56> "alexchira": ne veux plus de de billet de libre partout n'y de continué de fastueuses  qui m'oblige à sourire, ( crash) . On m'en parle, avant que j'ouvre la bouche, Au reste, Moscou parle d'un tas de choses à la fois et déballent un tas de salleter. L'odeur d'une de celle c'y ma frapper dès le cocasse" de haut en bas on affirme que le 60 naire et les éditions fantastiques arbitraire qu'on à faite de c'est oeuvres à couter a la princesse un millions d'euro propre .

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 Les steppes vertes du moi d'août, les steppes grises de l'automne sont maintenant enssevilient sous la neige. le patient, le confortable train russe les éventre en nananant   je connai tou cela. c'est mon second hiver russe. Et cependant, je n'en puis plus goûter le charme: mon couer et mort. notre compartiment qui avait connu tant de disscussion orageuses, tant d'éclats de rires n'est plus maintenant qu'un croupissant d'ortoie. Nous ne parlons plus Dans les gares,chancunn dessant pour s'acher    bouffent, roupillent,.Le Crétois et plus calme que moi Il comprend tout et admet .C'est pourquoi un tiède malentendu nous sépare quelque peu. Une chose entre toute lui tient à coeure: nous avions convenue de continer notre voyage au Turkistant et en Sibérie, jusqu'a Vladivostok et si possible, jusqu'en Chine et au Japon. Or, pour ma part, je considère, la cause que  je voulais défendre; je ne ve plus de bille0st de libre parcour, ni continuer de fastueuse réception qui m'oblige  sourire... et me taire. et sans moi, il sait que tout se gâte tout est déjà gâté, car je retrouve une Moscou qui est au courant de mon revirement. On en parle avant que j'ouvre la bouche. au reste, Moscou parle d'un tas de choses à la fois et débale un tas de saleté. L'odeur d'une de celle-ci m'a frappé dès le Caucase: de haut en bas on affirme que soixentenaire de Gorqui et édition fantastiquement arbitraire qu'on a faites de ces ouevres complètes on coûté en guenilles un million de roubles

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Les steppes vertes du mois d'août, les steppes grises de l'automne sont maintenant ensevelies sous la neige. Le patient, le confortable train russe, les éventre en annanant, bon buffle qu'il est. Je connais tout cela. C'est mon second hiver russe. Et cependant, je n'en puis plus goûter le charme: mon coeur est mort. Notre compartiment qui avait connu tant de discussions orageuses, tant d'éclats de rire, n'est plus maintenant qu'un croupissant dortoir. Nous ne nous parlons plus. Dans les gares, chacun descend pour s'acheter les vivres qu'il aime, remonte, bouffe, roupille, rêvasse, ou gémit, tout seul. Le Crêtois est plus calme que moi. Il comprend tout et l'admet. C'est pourquoi un tiède malentendu nous sépare quelque peu. Une chose entre toutes lui tient à coeur: nous avions convenu de continuer notre voyage au Turkistan et en Sibérie, jusqu'à Vladivostok et, si possible, jusqu'en Chine et au Japon. Or, pour ma part, je considère perdue la cause que je voulais défendre; je ne veux plus de billet de libre parcours, ni continuer de fastueuses réceptions qui m'obligent à sourire, sourire... et me taire. Et sans moi, il sait que tout se gâte. Tout est déjà gâté, car je retrouve une Moskou qui est au courant de mon revirement. On m'en parle, avant que j'ouvre la bouche. Au reste, Moskou parle d'un tas de choses à la fois et déballe un tas de saletés. L'odeur d'une de celle-ci m'a frappé dès le cocase: de haut en bas on affirme que le soixantenaire de Gorki et les éditions fanstastiquements arbitraires que l'on a faite de ces oeuvres complètes ont coûté à la princesse en gueunilles un million de roubles.

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Les steppes vertes du mois d'août, les steppes grises de l'automne sont maintenant ensevelies sous la neige. Le patient, le confortable train russe les éventrent en anannant, bon buffle qu'il est. Je connais tout cela. C'est mon second hiver russe. Et cependant, je n'en puis plus goûter le charme: mon coeur est mort. Notre compartiment qui avait connu tant de discussions orageuses, tant d'éclats de rire, n'est plus maintenant qu'un croupissant dortoir. Nous ne nous parlons plus. Dans les gares, chacun descend pour s'acheter les livres qu'il aime, remonte, bouffe, roupille, rêvassent, rougémient, tout seul. Le Crétois est plus calme que moi. Il comprend tout et l'admet. C'est pourquoi un tiède malentendu nous sépare quelque peu. Une chose entre toutes lui tient à coeur: nous avions convenu de continuer notre voyage au Turkestan et en Sibérie, jusqu'à Vladivostok


 (Juste, je corrige une faute d'inattention, si possible au dessus: c'est "révasse, rougémie)

, jusqu'en Chine et en Japon. Or, pour ma part, je considère perdu la cause que je voulais défendre; je ne veux plus de billets de libre parcours, ni continuer de fastueuses réceptions qui m'obligent à sourire, sourire... et me taire. Et sans moi, il sait que tout se gâte. Tout est déjà gâté, car je retrouve une Moscou qui est au courant de mon revirement. On en parle avant que j'ouvre ma bouche. Aux restes, Moscou parle d'un tas de choses à la fois et déballe un tas de saletés. L'odeur d'une de celle-ci m'a frappé dès lors qu'occase: de haut en bas, on affirme que le soixentenaire de Gorki et les éditions fantastiquement arbitraires que l'on a faite de ces oeuvres complètes, ont coûté à la princesse en guenilles, 1 million de Roubles.

 

Je tiens à préciser que la parenthèse était présente dans le mp, je me suis arrangé pour écrire ça pendant la dictée ^^

Modifié par Brieuc
précision
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Bon, y'a des parties que j'ai pas suivit. ^v^"

Le texte : Les steppes vertes du mois d'août, les steppes grises de l'automne sont maintenant , le patient Je connais tout cela. C'est mon second hiver russe et cepandant, je n'en puis plus goûter le charme, mon est mort. Notre compartiment qui avait connu tant de discussion orageuse, tant d'éclat de rire, n'ait plus maintenant qu'un croupissant d'haurtoire, Nous ne parlons plus chacun descend remonte, roupire, bouffe. Le Crétoi est plus calme que moi. Il comprend tout et l'admet. C'est pourquoi un tiede malentendu nous sépare quelque peu. Une chose entre toute lui tient à coeur: nous avions convenu de continuer notre voyage en Turkestan et en Sibéri, jusqu'a vladibostop, jusqu'en Chine et au Japon. Or, pour ma part, je considère perdu la cause que je.  ne veux plus de billet de lib parcours, ni continuer de vastieuse réception, sourire... et me taire. Et sans moi / L'odeur d'une de celle-ci ma frappée dès le cocasme: de haut en bas on affirme que le soixanténaire de, que l'on affecque de ses oeuvres ont coûtés 

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les steps vertes du mois d'Aout, les steps grises de l'automne sont maintenant ensevelit sous la neige. le patient , TU VA TROP VITE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

-Bliflette ;D

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voila voila??

 

Les steps vertes du mois d'aôut, les steps grises de l'automne son maintenant enssevelient sous la neige. Le patient , le confortable train Russe les eventre en ........ bon buffle qu'il est. Je connais tout cela. C'est mon second hiver Russe. Et cependant , je n'en puis plus gouté les charme: mon coeur est mort. Notre compartiments qui a connu tant de discussions orageuse, tant de rires,n'est maintenant qu'un croupissant dortoires. nous ,e ,ous parlons plus. dans les garres chacun dessant acheté ........bouffes, montres, revasse le Cretois est plus calme que moi.il comprend tout et l'admet . c'est pourquoi un tiède malhentendu nous sépare quelque peux. Une chose entre toute lui tient a coeur: nous avons convenu de continué notre voyage au Turquestan ...... j'usque vladimosquoque et si possible, jusqu'en Chine et  au Japon. Or , pour ma pars, je considère perdue  la caus que je voulais defendre je ne veut plus de billets de libre parcoure , ni continué de fastueuse réception qui m'oblige a sourire, sourire...... et me taire. Et sans moi , il sais que tout sa gate/ tout est deja gaté, car je retrouve une Moscou qui est au courant de mon revirement . on m'en parle, avec que j'ouvre la bouche. au reste ; Moscou parle d'un tas de chose a la fois et deballa un tas de salleté. l'odeur d'une de ..... m'a frappé des les coca: de haut en bas on affirme que les soixantenaires de gourqui et les editions fantastiquement arbitraire complete on coté a la princesse  en guenilleun millions de roblux point final

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Bon ma connexion étant en PLS, voilà le peu que j'ai pu entendre du texte :  

Les steppes verte du mois d'août, grises de l'automne, sont maintenant... le confortable train russe... bon buffle qu'il est... c'est mon second hiver Russe. Puis plus... goûter le charme... est mort. tant d'éclats de rire... dans le dortoir. Nous ne nous parlons plus. Chacun descend pour s'acheter les livres qu'il aime puis... où j'ai mis tout seul. Le Crêtois ... il comprend tout... un tiède malentendu... Nous avions convenu de continuer notre route ... et en Sybérie, jusqu'à Vladivostok ... et, si possible, jusqu'en Chine et au Japon. Or, pour ma part, je considère perdue la cause que je voulais défendre. Je ne veux plus... ni continuer de fastueuses réceptions.... et me taire... tout est déjà gâté, car je retrouve ... On m'en parle, avant que... j'ouvre... parti... d'une de celle ci... m'a frappé dés le Caucase. ... :« de haut en bas, on m'affirme

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On ne juge pas svp X)

 Les steps verte du mois d'aôut, les steps grise de l'autome,sont maintenant ensevlie sous la neige, Le patient, (rien compris) . ses mon second hiver russe. Et cependant, je n'en peut plus gouter le charme, Notre compartiment qui avait connu tant de discution orageuse, tant d'éclat de rie n'est plus mianetenant qu'un dortoir, nous nous parlons plus. Dans les , chacun des sons pour s'acheter les vivre qu'il aime, remonte, (j'ai pas la suit). Le Crétoit est plus calme que moi. Il comprend tout et l'admait. c'est pourquoi un tiède mal entendu nous sépare quel que peut. Une chose entre toute lui tien à coeur: nous avions convenue de continuer notre voyage au Turquestant et en Tibérie. J'usqu'a vladie Vostoque et si possible juste qu'au japon. Je considère la cause perdu que jeveut déffandre, Je ne veut plus de billet de libre parcours n'y continuer de fatueus
 reception qui m'oublige a sourire... a sourrire et me taire. Et sans moi, il sait que tout ce gâte (pas sûr) tout est déjàs gâter, car je retrouve une moscu qui est au courant de mon revirement. On m'en parle avant que j'ouvre la bouche. Au reste, Mosquou parle d'un tat de chose a la fois débale un tas de saleter. l'oddeur d'une de celle ci ma frapper des l'occocase.. De haut en bas on affirme que le soixante naire de Gorquii et les édition fortastisement arbitrair que on a fait de ces oeuvres complète a coûter en geunilles1M robux . 

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